La Vie

Le miroir de la vie

Devenir sage signifie pouvoir reconnaître toujours plus ses erreurs, en pliant cet instrument par lequel nous percevons et nous jugeons. La circonspection dans les jugements est, de nos jours, ce qui est le plus recommandable à chacun. Gagnerait-on, de tous les écrits philosophiques, à peine une seule vérité indiscutable, que la récolte serait encore bien abondante.
Il faut se rappeler toujours que le fait de comprendre une philosophie n’est point une raison suffisante pour la tenir vraie. Il m’est avis que le plaisir d’avoir compris un système fort abstrait et obscur conduit la plupart à croire qu’il est déjà démontré.
Le prédateur le plus redoutable de la Terre, c’est vous ! C’est moi ! C’est l’être humain !

L’Homme d’aujourd’hui n’est peut-être pas plus méchant que l’Homme de l’Antiquité ou que le primitif, mais il dispose de moyens bien plus nombreux et efficaces pour exprimer ses mauvaises pulsions. En effet, si sa conscience s’est élargie et différenciée, il semblerait que c’est en défaveur de sa moralité demeurée stationnaire et arriérée.

Et cet individu isolé peut être n’importe lequel d’entre nous pour peu que nous n’attendions plus qu’un autre accomplisse ce que nous ne voulons pas faire. Si la conscience ne semble pas nous venir en aide, pourquoi ne pas interroger enfin l’inconscient qui sommeille en nous ? Il sait très certainement quelque chose qui pourrait nous être utile à tous.

On ne peut comprendre la guerre que lorsque l’on l’a vécue soi-même :
Il existe dans chaque pays un ministre de la guerre. At-il seulement fait une guerre ?!! Ou n’a-t-il pas plutôt commis des guerres ??! A-t-il une fois dans sa vie prit un enfant, une femme, ou un homme agonisant à même le sol dans ses bras ?
Et ces personnes parlent de la guerre comme si c’était une partie d’échec. Les guerres sont manipulées par les puissants pour détruire les impuissants.

La guerre n’apporte que souffrance et ruine le cœur des hommes. Après la guerre arrive la paix mais jamais le sommeil !!! Dieu n’a jamais voulu la guerre…. Et son image est bafouée par l’homme !
Soyons honnêtes. Une fugace bouffée de haine m’envahi lorsque je vois que l’on utilise la religion pour cacher la vérité de la cruauté de l’homme dans sa propre hypocrisie.

Je ne me reconnais pas dans cette image de Dieu contraire aux valeurs véhiculées par les religions monothéistes. Dieu est pour moi symbole de miséricorde. Un Dieu miséricordieux, c’est un Dieu qui incarne des valeurs de paix, de fraternité. Mais l’être humain est-il capable de pardonner ?
Certains actes paraissent impardonnables, surtout ceux qui nous ont profondément blessés ou qui ont touché ceux que nous aimons. Pourtant sans nier le mal qui a été fait, il est vital de se reconstruire… et la démarche du pardon est une des clés de cette guérison intérieure.

Pourtant la tentation de la vengeance est forte, et c’est malheureusement la première pierre qui empêche d’avancer sur le chemin de la pacification.
Faire souffrir parce qu’on vous a fait souffrir ne fait qu’ajouter un mal à mal. Inconsciemment vous pouvez ressentir de la culpabilité, vous n’êtes pas en paix…
Pardonner, ce n’est pas oublier. Et personne au monde ne peux oublier la perte d’un proche, et la pire chose, celle d’un enfant.
Nul trésor au monde n’égale notre enfant. Nous le protégeons, le chérissons, lui donnons ce que nous avons de meilleur. Il est notre présent et notre futur. Il nécessite soins, attention, prévention, amour et représente notre plus grand capital. Nous veillons sur lui comme sur notre plus grande richesse car c’est en lui que nous plaçons tous nos espoirs. Chaque jour nous prions pour lui et versons des larmes.

Un grand homme est pour moi quelqu’un qui a beaucoup pensé, lu et vécu et qui sait, dans toutes les choses qu’il entreprend, voire même dans chaque livre qu’il écrit, unir clairement le fruit de sa pensée, de ses lectures et de sa vie à la meilleure des fins, de manière que chacun puisse voir ce que lui-même a vu.
Excuser certaines faiblesses comme faisant partie de la nature humaine est, si on y songe bien, le premier devoir de tout écrivain envers lui-même.

J’aime passionnément le genre humain, et certains sont bons, ou du moins font ce qu’ils peuvent pour l’être.
Mais je pense qu’à un moment, il va falloir répondre de nos actes à tous les étages devant l’éternel.

J’ai peur des au revoir. Je les déteste tous. Ce sentiment que tu as lorsque tu finis un livre et que tu n’as rien d’autre sur quoi t’accrocher ou espérer. Ce sentiment est difficile à supporter pour moi parce que je ne veux jamais que les bonnes choses se terminent. Moralité : il faut savoir profiter du moment présent.
Dire au revoir nous replonge en arrière, mais la vie est trop courte pour cela. Concentrez-vous sur ce qui se passe aujourd’hui et vivez le moment présent avec les êtres qui vous sont chers. Soyez reconnaissants des personnes qui ont marqué votre vie et qui ont rendu chaque moment passé ensemble des plus mémorables.

« La valeur d’un homme tient dans sa capacité à donner et non dans sa capacité à recevoir. » – Albert Einstein

« Tu dois devenir l’homme que tu es. Fais ce que toi seul peux faire. Deviens sans cesse celui que tu es, sois le maître et le sculpteur de toi-même. »- Friedrich Nietzsche

« La vie de l’homme dépend de sa volonté ; sans volonté, elle serait abandonnée au hasard. » – Confucius

« La tendresse du cœur, c’est ce que la nature a donné aux hommes en leur accordant les larmes. »- Suétone

La couleur de la peau de l’homme a toujours divisé les hommes d’avantage que celle de ses yeux. Les religions ont toujours divisé les hommes… Mais ce qui importe réellement, c’est ce que l’homme a dans le cœur, et ça c’est la réalité.

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