Tu es le réel, la réalité de la grandeur d’une femme, après n’avoir connu que l’irréel, l’imaginaire des mots.
Si les mots mon conduit à toi, cette nuit-là, c’est pour ouvrir les portes de la vie.
Il y a des esprits d’une telle grandeur, que l’amour en est devenu jaloux.
Je pensais être un maître des mots, un apprenti des verbes, pour finalement découvrir, que devant elle, je n’étais qu’une plume sans encre.
À toi, ma douce, ma bien-aimée, tu es la poésie de mon esprit, la douceur de mes nuits, la chaleur de mes rêves, la pureté de mes moindres fantasmes, sans toi la vie n’aurait aucun goût.
Comment vivre, sans un seul mot de toi !
Comment vivre, oui comment vivre sans toi !
Au coeur de la moindre action devrait se trouver un idéal, mon idéal c’est toi, je mourrai dans ton coeur !
Un jour perdu les mots, j’ai perdu ma vie, j’ai perdu mon chemin, et tu as apparu comme une princesse, tu as su mettre les mots dans mon coeur !
Je ne peux vivre sans tes mots sur tes lèvres qui glissent de bon matin, quand le soleil se lève sur la douceur de ton corps.
Mon Dieu, mon Dieu, laisse-la-moi !
Les mots ne suffisent pas pour te dire à quelle valeur tu fais partie de mon coeur !
Plus jamais j’aurai la solitude des mots, plus jamais, je te laisserais, car tu es la conclusion de tous mes mots !